Free Electron Max

Février 2010 : Max part habiter à Bordeaux pour des raisons professionnelles.

Comme la plupart des anciens Big Dist il reste un Big Dist forever, et surtout notre correspondant de l'autre côté de la France !

Ses participations dan sla musique BDAsienne sont loin d'être terminées, on ne sait juste ni quand, ni comment, ni où, mais l'essentiel c'est que BDA ne perde pas ses précieuses dred-locks !

Hum hum !

Y'a qu'à voir son look de hippie caricaturé pour savoir que ce gars s'est probablement fabriqué sa propre guitare, bidouille peut-être ses pédales de guitares, utilise des fils dénudés pour les relier entre elles...

Je dis entre elles car en général les pédales sont nombreuses afin d'avoir un panel de sons utilisables à tout moment pour suprendre ses camarades en répet, ou tout simplement pour partir dans de longues recherches psychédéliques (qui ne mettent en transe que lui soi dit en passant ! )

En bref, oui Max est cet électron libre, hippie pro-nucléaire, tatoué et re-tatoué, végétarien, thésard étudiant un sujet tout aussi ininteressant que tous les autres thésards, guitariste aux mille pédales farfelues, dreadeux confirmé, donc forcément un drogué !

Voire un peu terroriste sur les bords : OUI il est LE responsable de la coupure de courant lors de notre premier concert avec lui (La Chapelle à Nîmes 31/01/09), il aurait appuyé sur sa pédale de "wha wha" toute bidouillée, et comme par hasard PAF plus de jus dans le pub !

Bravo l'artiste !

Heureusement que tous ses défauts (la liste étant non-exhaustive) n'ont d'égal que sa gentillesse, et son talent musical et créatif !

En moins de deux mois, Max s'est révélé être une valeur sûre pour le groupe, et un super pote !

Tout à fait dans l'esprit Big Distien, par son côté freestyle, nous pouvons affirmer sans peur qu'il devient chaque jour un peu plus une des pièces maîtresses du groupe, apportant son terrrrible feeling, ses solos so rock'n roll (en mode myxolydien of course !), son genre venu d'une autre planète et tellement trippant !

Big Dist n'a pas prévu de se séparer de ce membre dans les 50 années à venir. Une fois que vous l'aurez vu et entendu sur scène, vous saurez pourquoi !

BOUNTY SLAP MASTA !

En Novembre 2009, le CDD de Bounty étant arrivé à terme après un an de collaboration dont 10 mois à la guitare et 2 mois à la basse, il était temps pour nous de nous séparer.... à regret ! Le plus détesté de tous les Big Dist restera sans doute un de ceux qui nous manqueront le plus...

Vous pourrez continuer à l'écouter dans diverses formations musicales du coin telles que Kaylz ou 455SD ... ou vous l'apercevrez même parfois sur les planches avec Big Dist... aux choeurs ? A la gratte ? A la basse ? Aux lumières?... Personne ne semble encore avoir l'info, même pas lui... le mystère reste entier...! Des bises à notre juif antisémite préféré !

Noir à l'extérieur mais blanc à l'intérieur, ce juif à la délicieuse odeur de noix de coco raffole de bananes et autres cochonneries typiques des bassistes qui kiffent le mode slap !

Mais que fout il chez les Big Dist bordel ????

Venu remplacer Ben'Oi, on le voit à la guitare pour la première fois et ce pour notre plus grand bonheur !

Son ouverture d'esprit, son expérience dans des groupes différents (Ink / Electro-Rock - 455 sd / Hard rock'n roll - Dive / Hard Rock Fusion, etc ) et son jeune âge viennent dynamiser nos troupes et donnent une valeur ajoutée au punksteady freestyle de Big Dist !

Mais le meilleur chez Bounty c'est qu'il nous reste tout à découvrir chez lui !

En effet, si nous pouvons dire qu'il est influencé à la basse par Flea, John Paul Jones, Tim Commerford, Les Claypool, Cliff Burton, Geezer Butler, Jaco Pastorius et autres bass héros, personne ne sait encore quelles surprises (bonnes ou mauvaises...) il nous réserve sur la petite 6 cordes !

Grenoble a une ambiance exotique grace à Bounty, on l'en remercie !

Lui qui déteste ces friandises chocolatées aurait préféré recevoir le surnom de snickers, mais que veux tu mon gars, si les Snickers avaient été blancs à l'intérieur t'aurais eu tes chances, malheureusement ses cacahuètes craquantes et son caramel fondant ont plutôt une teinte jaune que nous réservons au futur guitariste chinois qui te remplacera l'année prochaine pour moins cher que toi !

Ah ces blacks c'est plus ce que c'était, au temps de l'esclavage autorisé ils coutaient rien du tout, de nos jours y'a plus que les chinois qui sont réellement exploitables !!!!

Ben' Oi Supersonic

Pour des raisons médicales, Ben se sépare du groupe en Octobre 2008, c'est avec grands regrets que nous lui souhaitons de poursuivre son chemin musical au delà de la sphère Big Dist après un prompt rétablissement !

Notre amoureux perpétuel est celui qui vient mettre sa touche pop reggae à la sauce !

Par chance nous avons trouvé ce gentil gigolo, alors que nous pensions que les fans de notre groupe phare, Sublime, avaient tous disparu de l'agglomération grenobloise.

Toujours souriant et à l'affût d'une coquinette, ce multi-instrumentiste nous étonne et nous charme par son étourderie et sa facilité à faire de la pop qui sonne !

En fait le problème de Ben c'est qu'il ne vient jamais en répète, hormis ce détail monstrueux il est un camarade idéal pour jouer de la musique !

Tous les groupes ont leur bimbo, chez No doubt c'est Gwen Stefani, chez les Horrorpops c'est Patricia Day, les Spice Girls en avaient au moins 2 elles, les chanceuses, Emma Bunton et Geri Halliwell... nous avons Ben !

Que des millers de fans hystériques tout sexes confondus (au sens propre et figuré), se rue sur sa Gibson semble naturel à tout un chacun : sa Gibson passe des jours entiers chez le luthier à se faire retendre ses six strings, une sorte de thérapie pour survivre aux agressions sexuelles dont elle est victime... Ben l'aime vraiment TROP !

Ben, influencé par des groupes ska punk californiens tels que Sublime ou NOFX, joue tout aussi bien des balades simplissimes à la U2, et il assume (on est mal barrés ! ).

Ce qui peut choquer chez lui ce sont ses moments d'absences en répète... je veux parler d'absence "intellectuelle" (dans les cas où il n'est pas en mode "absence physique"), où toute info utile rentre par un de ses pavilons d'oreille et ressort par je ne sais où ! ("Par ma bite" me répondrait-il certainement).

Mais ce qui compte le plus chez Ben, ce n'est pas qu'il joue avec nous, c'est que son esprit nous soutienne au moins de loin, car on ne peux plus s'en passer... il agit comme une drogue qui nous rend tout stones et tout lents... et on en reprend !

A quand la cure?

Quentin Kare

En Décembre 2009, le contrat intérimaire de Quentin Kare arrive à échéance. Les plus visionnaires posent déjà des paris quant aux prochaines collaborations entre la team et l'arménien.

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En Septembre 2009 Quentin fait son grand retour pour prêter main forte aux BDA en attendant le recrutement du gratteux définitif ! THX !!!

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En Novembre 2008 Quentin quitte le groupe, méchament chassé par ses camarades pour avoir tenter un "poutch" et faire d'un groupe de ska punk fusion, un groupe de métal fusion.

Le châtiment est terrrrrrible, mais nous espérons partager encore beaucoup de plaches avec lui !!!

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Dit "l'Arménien" à cause de ses origines, il ajoute à Big Dist Allstars ses influences guitaristiques :

du rock méga loud et surtout des techniques empruntées à son maître, Joe Satriani.

A 19 ans il a l'âme d'un gamin arrogant, et lorsqu' on lui demande ce qu'il voudrait voir apparaître sur ce profil, il réponds "Que j'emmerde tous ceux qui lisent ça."

Ca promets...

Heureusement que ce gars joue de la gratte comme une vraie rock star, ça rattrappe un peu le reste...

Il faut dire qu'il a trouvé sa vocation en se trompant de guitare un jour où, en tant que No Life invétéré, il a voulu commencer une partie de Guitar Hero sur Playstation 2, et s'est retrouvé par erreur avec la "véritable" guitare de son frère entre les mains à la place de celle du jeu...

Cette bétise lui coûta une addiction certaine pour la musique !

On dit que depuis il n'a plus pû quitter cette belle 6 cordes et qu'il a dû casser la gueule à son frère pour la garder !

Dailymotion serait le principal coupable, puisque c'est en regardant une vidéo de Satriani qu'il a décidé fermement de devenir un jour guitariste de session.

Mais il fallait commencer au bas de l'échelle... c'est alors qu'il s'est dit : "Tiens Big Dist ils cherchent un gratteux, ce qu'ils font me fait gerber, mais ils sont moins nazes que les autres groupes qui recrutent, alors je vais aller leur pourrir leur zik avec mes influences opposées aux leurs."

Et c'est ainsi que Quinetine dû se faire violence et jouer du reggae et du ska en essayant de ne pas gerber sur son super ampli à lampe Fender Deluxe de mes couilles (qui sonorise à lui tout seul le Summum de Grenoble ! ) tellement cette zik de hippie sonne dégueu à ses oreilles !

Reconnaissons tout de même qu'il y a pris goût en sentant le groove qui émane naturellement d'une bonne rythmique reggae bien posée ! ^^

Enfin toute cette histoire vous pouvez l'écouter à travers la chanson écrite spécialement pour lui : The Postman's Son ...

( www.boxson.net/groupe/big-dist-allstars )

... car oui, non seulement il est fils d'arménien, mais fils d'un arménien facteur ! Joli combo Mr. Kare ! Heureusement qu'il compense tout ça avec son talent, et c'est bien la seule chose sur laquelle nous n'avons rien à redire...

L.A. Nick

En Septembre 2009, le chemin de Nico se sépare de celui des Big Dist... lui qui était de la première vague...

Belle route à lui !

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Nico, LA légende...

On dit sur lui qu'il serait né à Roanne et qu'il aurait vécu un temps a St-Germain-des-fossés LA ville qui a inventé le train il y a 200 millions d'années, puis à Echirolles...

La vérité sur Nico, c'est qu'il a vécu à Los Angeles durant les 20 premières années de sa vie, ce qui lui confère cette attitude frimeuse et néanmoins complètement rock'n roll !

Nico maîtrise son isntrument, la basse, comme s'il avait un métronome inscrusté parmi ses neurones. Il peut boire des litres de bière au point de ne plus connaître les morceaux, de ne plus se rappeler de son prénom, de ne plus savoir parler, de jouer dans une tona différente, de dormir en tenant sa basse... mais vous pouvez être sûrs d'une chose, c'est que Nico reste toujours sur le temps et ne dévie jamais... Nico est une machine rythmique... Une boîte à rythme en somme, mais avec du feeling !

Ses infuences partent du métal oldschool à la pop d'aujourd'hui en passant par le hard-rock des années 80, ou le rock épuré et psychè des Cure.

Son rêve ultime : faire du disco artisanal... demandez lui ce qu'il entends par là...

Nico est également le seul, mis à part la grande desposte AL supa Oi, a avoir survécu à la vague de changement de line-up annuelle.

Nico est donc un Big Dist de la première heure, toujours fidèle au poste et on y compte bien ! Sans ça où pourrions nous répéter en acoustique le lundi soir à part chez lui?

Nico ne sert presque pas seulement à nous accueillir chez lui pour les répètes, il est aussi un véritable ami pour nous tous, et si sa nonchalance en fait parfois criser certains, c'est pour mieux nous attendrir avec toutes les autres nombreuses qualités qu'il possède exclusivement et qu'il partage généreusement !